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Aujourd’hui, comme chaque année, je m’associe à la Journée mondiale pour le travail décent.
Parce que le travail ne peut pas se résumer à un simple emploi, à une case dans une statistique, ou à une ligne sur un bulletin de salaire. Le travail, c’est d’abord une valeur humaine, un lien social, un facteur d’émancipation et de dignité.
Mon engagement syndical s’inscrit pleinement dans cette conviction : défendre les droits des travailleuses et des travailleurs, lutter contre la précarité, soutenir celles et ceux qui refusent la résignation face à la dégradation des conditions de travail.
Mais cet engagement dépasse le seul cadre professionnel. C’est aussi un engagement politique, au sens noble du terme : celui de participer à la construction d’une société plus juste, plus solidaire, où chaque personne puisse vivre dignement de son travail et trouver sa place.
Le travail décent, ce n’est pas une utopie. C’est une exigence sociale, écologique et démocratique.
C’est la condition d’un avenir où l’économie sera au service de l’humain, et non l’inverse.