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Aujourd’hui, je veux prendre un moment pour parler des filles.
De celles qui, partout dans le monde, luttent encore pour aller à l’école, pour être respectées, écoutées, libres de leurs choix.
De celles qui affrontent les inégalités, les préjugés ou les violences, simplement parce qu’elles sont nées filles.
Je crois profondément que chaque fille doit pouvoir apprendre, créer, décider et s’émanciper.
Qu’elle doit avoir les mêmes droits, les mêmes chances, la même reconnaissance que n’importe qui.
Cette journée mondiale nous rappelle que l’égalité ne se décrète pas : elle se construit, jour après jour, dans nos familles, nos écoles, nos villages.
À Angervilliers comme ailleurs, nous pouvons tous agir pour renforcer la confiance, la curiosité et la force des filles.
Elles portent déjà une partie du monde sur leurs épaules. À nous de leur donner les moyens d’en changer le visage.